14 et 15 février tam coc

 Embarquement en minibus avec chauffeur crazy comme d'habitude. Presque 4 heures de conduite sauvage sur routes défoncées dans un mini bus qui sent le vomi et interdiction d'ouvrir les fenêtres après la sortie de la ville....Enfin, nous arrivons à bon port. Déjeuner et enfourchage de vélos l'après midi pour une ballade sur la rivière voisine....enfin 8 km quand même, avec des selles défoncées. 

Au bout de 3 km, plus personne ne rigole. Même Alain, le canadien hockeyeur demandera grâce pour son postérieur. Coup de bol, c'est plat, enfin, peut être qu'en danseuse, nous aurions eu moins mal au fesses, mais  les vélos étaient un peu petits pour ça.

Franchement, j'ai plus confiance dans le vélo...

Un des nombreux embarcadères pour touristes sur une des nombreuses rivières du coin.

Tout ça au milieu des rizières.

Pont branlant de bambou.

Une vue de Tam Coc nom qui signifie "les trois grottes", surnommée aussi la baie d'Along terrestre, surnom dû à tous ces pitons rocheux qui dominent non pas la mer mais les rizières.

Notre capitaine avec son bateau. Les sièges sont du dernier confort; (au sens propre)

et c'est parti !

en fait, ces pitons regorgent de grottes et de petits passages.

Il y fait vraiment très noir, le flash ne porte pas loin.

Une écluse, en fait, le courant de la rivière change de sens entre le matin et le soir, je n'ai pas trop compris comment car nous sommes assez loin de la mer.

La maison de l'éclusier

une grotte, pas facile d'accès, c'est pas trop grave non plus, nous n'avions pas décidé d'y grimper.

Les canadiens "chinois" (ils vivent à Beijing). 

Olivier et une partie de ses enfants, pilote de ligne pour air je ne sais plus quoi, anciennement air inter.

Abri pour les travailleurs des rizières. (abandonnés jusqu'à la prochaine saison.)

Passage un peu compliqué, il y a peu d'eau, nous sommes à la saison sèche.

Courageuses ces femmes, elles n'arrêtent pas une minute pendant les 2h1/2 de navigation

Et le soir, bonnes discussions avec Olivier et Blandine les pilotes, Alain et Myriam les canadiens chinois, des français qui partent au canada, et des bordelais très sympa. 

Et c'est reparti pour un tour, mais de l'autre côté.

ça, c'est une autre manière de se servir d'un vélo, 

C'est quand même bizarre, moi j'aurai fait une remorque à bras, mais lui, il n'a pas l'air d'y tenir, il préfère son vélo.

Le vélo trop grand ou la petite trop petite....

Sympa les gens, ils nous encouragent sur nos vélos, pourtant, je préfère ma place que la leur. parce que pour moi, le vélo, dans 2 heures, c'est fini pour les 10 prochaines années. Eux non ! c'est le vélo + le riz, et pour la vie

encore un bonsaï

But de la ballade, le petit zig zag blanc en face, en fait c'est un escalier.

Escalier de 455 marches............................... ça va être dur, je le pressens.

La vue après 150 marches

Après 300

Nous avons quand même bien rit quand les chinois nous ont raconté qu'il y a des toboggans pour redescendre de la muraille de chine.

Ici, avec des marches de 50 cm, si nous décidons de faire toboggan, ça va être un drame.

La vue d'en haut, c'est bien, ça valait bien les 30 mn de transpiration, non?

Nous ne saurons jamais le nom de cette pagode...et je ne suis pas sur de m’en remettre!

il y en a que ça fait rire !

Ah au fait, c'est quand même cette statue que nous sommes venus voir.

retour sur le plancher des buffles. Ici, elle sème du riz, en bandes serrées qui seront recouvertes d'une serre.

Ça peut se faire aussi dans le jardin, sur le ciment, il suffit d'un peu de terre.

Voir sur le trottoir, ça donne l'air d'aller aussi.

Ensuite il faut prendre le vélo qui va bien, avec la béquille qui va bien aussi, et transporter ces plants vers la rizière.

Voilà, comme ça, c'est bien...

Amener les plants là où ils doivent être plantés, les séparer, 

Et enfin les planter un par un en rangées très droites, enfin...le plus possible. 

mais avant, il a fallu désherber, labourer avec le buffle, et après, il faudra désherber 2 ou 3 fois, récolter, faire sécher, séparer le grain de l'enveloppe et enfin, le manger. Au moins ça occupe.

Le temps des chars à boeufs n'est en core pas révolu.

Week end fatiguant.......

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